Première réaction : Grrrrrr...
Et puis... Hmmmm...
C'est terrible mais j'adore !!! C'est sinistre mais c'est beau, comment expliquer vous ça... ? Encore bravo ! J'attends avec impatience les prochaines nouvelles !
Franchement, je ne m'attendais pas à la chute - ce qui est rare chez moi - mais celle-ci est frappante et bien amenée. Une nouvelle qui dégoûterait n'importe quelle personne intelligente de commencer la cigarette, c'est tout dire. De plus, il y a une recherche timide dans le style et l'histoire n'est pas dépourvue de cette cruauté ironique que l'on rencontre si souvent dans la vie. Alors, un roman - non, rien en vue ? ... Je sais, je pose toujours la même question mais il me semble qu'elle s'imp...
La forme de la nouvelle permet de contracter en peu de texte une situation, un drame sous l’éclairage d’un projecteur qui ne faiblit pas, ce qui lui donne une grande force. Isabelle est indéniablement douée dans cette forme. Son découpage, presque « clinique » ne nous épargne rien au profit de son propos. L’hôpital est un théâtre où sous joue crûment notre sort. Celui de Laetitia est dramatique… « à peine le temps de constater combien la vie est surprenante parfois »
la bravo , peut etre qu etant de la partie je suis plus interessé.. toujours le meme style bref , concis et bien imagé;le melange des actions est bien amené, on reste accroché a l ' histoire ;la fin brutale est comme je les aime , me laissant a mes reflexions... merçi encore.. vite un roman!
C'est un style que j'apprécie particulièrement. Cette nouvelle est palpitante dès les prémices et on ne décroche pas.
Elle aurait pu être de mille pages, j'en aurai mangé encore.
Merci pour ce moment de plaisir.
Bien sûr, on en demande toujours plus... A quand un roman ?
lisez et relisez cette nouvelle et vous comprendrez de mieux en mieux que la vie est belle et qu il ne faut la gâcher..sachez rester maitre de votre destin...
Cette nouvelle dénonce quelque peu ce troublant mimétisme de l’adolescence pour paraître homme ou femme avant l’heure. La cigarette est l’accessoire par excellence pour affirmer leur pseudo maturité car, pensent-ils, il n’est pas de séduction sans elle.
Ce texte, rondement mené, fait surtout le procès de la cigarette et relate la vie et les amours de Laetitia en quelques pages, et c’est bien ce qui m’a surpris. Une telle construction est une véritable prouesse. Bravo.
Ouiii... Un récit bien mené, une progression parfaite, des effets de style comme dans Damien, mais qui ici tombent à point...
Très bien. Oui, vraiment.
Et comme je ne vois pas quoi ajouter :
Félicitations du conseil de classe.
Je ne pensais qu’il soit possible de raconter en quelques pages les choses les plus universelles (la vie, l’amour, la maladie, la mort…) avec tant de force, de violence et de sensibilité. Si le format de la nouvelle en offre la possibilité, Isabelle Chapuis, avec “Laetitia”, a vraiment su l’exploité avec un style très fort (se rapprochant par moment de la poésie en prose) et une histoire noire et triste appuyée sur son monde professionnel. Quelques regrets tout de même : le début très haché qui,...
Une petite nouvelle bien construite et bien écrite, inattendue par son côté "campagne antitabac", poignante, surtout, par l'impression de gâchis que donnent la prise de conscience tardive tardive de l'héroïne et sa fin prématurée. Mise à part la longueur, elle aurait bien convenu pour le concours "La nouvelle en mille mots" sur le thème "Regrets".
Mais tout de même... une question à l'illustrateur: quel rapport entre la couverture et l'histoire?
MIM
malgré la tristesse de l'histoire, on ne peut s'empecher de sourire et de s'imaginer le bien être de Laétitia. Que la vie est belle, attention à ne pas la gâcher. Et quel final, on ne s'y attend pas du tout. Bravo. A quand un roman? On prend plaisir à lire et on ne se lasse pas. On aimerait que cela dure plus longtemps... Vite je vais lire 'Damien'...
Le hasard a voulu que je lise cette nouvelle alors que je suis moi-même atteinte d'une maladie pulmonaire (emphysème) due à la cigarette ! Texte court, incisif qui va droit au but recherché : capter l'attention. Bien vu !
Je l’avoue, je n’ai lu que l’extrait. Quelle frustration ! Quelle déception ! Moi qui avais un moment espéré une écriture cryptée, une malicieuse métaphore de la fellation, j’ai bien peur que ce texte ne parle finalement que des méfaits du tabac... Misère ! Laissez ce soin aux campagnes anti tabac ! Il y avait tant à travailler (ou à jouer) avec « extraire avec dextérité la petite forme du paquet » ou le « petit cylindre fragile (qui) glisse entre ses doigts ».
Et puis aussi, pourquoi insister...