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    Didier Mérilhou
    Si les divinités s'en mêlent

    NotoriétéPopularitéPalmarès
              



    Commentaire de Woland :


    Il y a du rythme, de l'allant, pas mal d'humour, les dialogues renvoient bien la balle. Pour autant, on a parfois l'impression de quelques longueurs et d'une superficialité des personnages qui les transforment en stéréotypes - cf. Jessica, la "femme soumise à la volonté de son époux devant Dieu."



    Plus sûrement, on se demande pourquoi ces quatre divinités se préoccupent tant des affaires de ces deux couples de mortels. Ceux-ci ne paraissent pas en effet avoir une telle carrure, matérielle ou spirituelle, ou encore jouer un tel rôle dans la société ou l'Histoire, qu'ils méritent autant d'honneurs. (Pour ma part, j'ai même trouvé le personnage de Jessica terriblement "gnangan".) Mais enfin, on peut imaginer, surtout au théâtre, des Dieux qui s'ennuient tellement qu'ils en sont réduits à se distraire comme ils le peuvent.



    La fin en outre m'a paru sibylline : Sam meurt-il ou sombre-t-il dans la folie lui aussi ?



    Quoi qu'il en soit, un petit moment de lecture agréable.


    Son évaluation :
    Réponse de l'auteur au commentaire de Woland :

    Dans cette pièce j'ai voulu faire la peau à tous ceux qui sont aveuglés par leur croyance en Dieu qui prend ici l'aspect de la vérité que je ridiculise volontairement. Il n'y a pas une vérité unique mais celle que chacun se fait en construisant sa propre vie. Sam est le seul à prendre des risques a oser brûler sa vie par les deux bouts. Il est hors norme (COMME LES FOUS) et en ce sens il meurt à ce que la société voudrait qu'il soit. Comme le dit Brassens les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux.
    L'intérêt d'une pièce de théâtre c'est d'amener les gens à réfléchir.
    Je n'ai pas choisi n'importe quelle divinité.
    Qui dans sa vie n'a pas subi les assauts du pouvoir que ce soit au travail ou en politique les exemples ne manquent pas. Devant le pouvoir nous sommes souvent lâches et plus de gens que vous croyez sont "gnangnan" pour reprendre vos termes.
    Idem pour la passion. Qui n'a pas vécu de passions ?
    Comment alors peut-on se désaliéner de ces concepts que j'ai divinisés pour m'amuser.
    De même que je n'aime pas l'idée d'une seule vérité de même je finis la pièce comme un entonnoir ouvert. Chacun peut alors s'imaginer la fin à la mesure de sa propre lecture.

    Merci en tout cas de votre témoignage.

    Didier Mérilhou



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