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    Georges




    INTRODUCTION A "MON AMOUR" Enseignant, retraité maintenant, jusqu’en 1979 j’étais en même temps communiste. Entre l’histoire réelle qu’il me fallait enseigner et l’histoire prétendument scientifique que diffusait le « Parti », je découvrais trop souvent ce qui me paraissait être des contradictions. Cette année-là, leur masse avait dépassé le seuil critique. Je demandai un emploi à mi-temps, ce qui me permit de chercher une meilleure explication de l’histoire. Après plusieurs mois de cogitation, je découvris ce qui m’apparut comme une illumination : le concept d’ « existence humaine » qui me permettrait enfin de rendre intelligible l’histoire. Et d’où venait-il, ce « besoin d’existence » ? J’obtins rapidement une réponse. Il se trouvait déjà chez nos ancêtres les animaux ainsi que dans tout le vivant. Il fallait donc refondre la « Théorie de l‘Évolution » dans un ensemble plus vaste qu‘on pourrait appeler la « Théorie de la Lutte pour l‘Existence ». Et ce « besoin d’existence » du vivant, comment la matière avait-t-elle pu en accoucher ? Cette question me tint quelques mois encore, jusqu’à ce qu’un verrou sautât. Et derrière la porte qu’il avait verrouillée, je découvris ceci : « Et si le « besoin d’existence » était dans la matière ? » Depuis, je me sens pareil à David Vincent, le héros de la série américaine « Les Envahisseurs ». Parce qu’il a surpris par hasard des extra-terrestres en train de manigancer la fin de l’humanité, le voilà condamné à porter seul la responsabilité de notre sort jusqu’au moment où nous le prendrons enfin au sérieux. Si on lui prouve qu’il se trompe, le voilà délivré. Et si on lui prouve qu’il a bien levé un lièvre, le voilà également sauvé. C’est aussi simple que cela. Je n’ai jamais demandé à être un héros. Et pourtant, je suis responsable de ce qu’il me semble voir. Non ? Si cette théorie s’avérait fiable, nous saurions traiter beaucoup mieux que maintenant les problèmes de notre temps : mondialisation, chômage, pollution, terrorisme, génie génétique, droits de l’homme, éducation, diversité culturelle… L’espoir de guérir l’humanité des guerres, de la misère, du chômage, de la folie, l’espoir de partir vraiment à la conquête des étoiles, l’espoir aujourd’hui bien abattu aurait des ailes neuves. - « Oui, mais il ne faut pas prendre nos désirs pour des réalités. -C’est vrai. Il ne faut pas non plus refuser une réalité probable sous prétexte qu’elle répond trop bien à nos désirs. Conclusion : soyons prudents. » Mais, depuis que j’ai écrit cette préface en 2001, des événements alarmants ont eu lieu qui aggravent l’urgence de la situation. Les violences en sont le signe le plus évident. Elles sont induites par une régression de la pensée telle qu’elle nous ramènerait au Moyen âge. Dans ce monde qui ne leur offre au mieux qu’un présent médiocre et, en guise d’avenir, la certitude que nous fonçons dans le mur, certains désespèrent et se tournent vers les idéologies du passé. Certains veulent que la science s’efface devant leurs textes sacrés, ou plutôt l’interprétation qu’ils en font. Créationnistes et intégristes de toutes obédiences, de plus en plus nombreux, de plus en plus influents, ils sont une grave menace pour la connaissance, pour le peu de paix qui nous reste et pour les Droits de l’Homme. Alors, si ma théorie a quelque chance de nous aider à sortir du bourbier, il est urgent de la tester. En effet, si jamais elle s’avère fiable, aux désespérés qui nous tourmentent, elle donnera au moins l’espoir d’un présent et d’un avenir désirables. Et les intégristes de tous genres, reconvertis, joindront leur énergie à la nôtre pour éviter le mur vers lequel nous fonçons de plus en plus vite, catapultés par l’accélération de l’histoire. Après avoir eu cette intuition que le besoin d’existence est probablement à l’œuvre dans tout l’univers, j’ai découvert que je suis en phase avec quelques chercheurs renommés que la communauté scientifique a plus ou moins marginalisés. James Lovelock, biologiste anglais, est à l’origine de l’hypothèse Gaïa : la terre réagirait comme un organisme vivant en maintenant certaines constantes nécessaires à la vie, le taux de 21% d’oxygène dans l’air, par exemple. Le docteur Jacques Benveniste, chercheur français, pense avoir découvert par l’expérimentation une « mémoire de l’eau ». Le chercheur allemand Roland Plocher commercialise un produit qui traite les eaux polluées en leur diffusant des « informations » : ce procédé qu’on ne sait pas expliquer connaît néanmoins une certaine réussite. Les « découvertes » de ces deux chercheurs tendraient à expliquer celles de l’homéopathie. Formulée en 1980, ma théorie annonçait implicitement une partie des échecs subis dans les opérations de clonage. En effet, voici ce qu’elle suppose. Au cours de la vie d’un individu, son besoin d’existence garde en mémoire les événements qui l’ont marqué et les réponses appropriées ; une partie de cette mémoire est transmise à ses descendants par l’intermédiaire des cellules reproductrices alias gamètes. Autrement dit, une partie du vécu devient héréditaire, l’acquis modifie l’inné. « Et pan, dites-vous, revoici la monstrueuse théorie de Lyssenko qui prétendait que l’acquis devient héréditaire ». Eh bien, ce n’est pas du tout la même chose. Je pense que les gamètes gardent en mémoire les expériences les plus marquantes d’une vie : oui. Mais il faut que ces expériences soient répétées sur je ne sais combien de générations et de générations avant de s’inscrire en gros caractères dans le patrimoine de l’hérédité. Ainsi, à supposer que la peau noire de certains types d’hommes soit vraiment une bonne réponse aux contraintes des climats très chauds, il a probablement fallu des dizaines de milliers d’années pour que se forment les ethnies noires d’Afrique, d’Inde, de Papouasie-Nouvelle Guinée, d’Australie… Il n’en reste pas moins que deux hypothèses induites par ma théorie pourraient expliquer les difficultés du clonage : -les gènes ne sont pas les seuls facteurs de l’hérédité, ils ne sont même pas les plus importants sur le long terme, -les gamètes ne portent pas les mêmes informations que les autres cellules, celles utilisées pour le clonage, par exemple. Ma théorie a aussi des affinités avec plusieurs philosophies, en particulier celles de Socrate, d’Auguste Comte, de Karl Marx, du savant Pierre Teilhard de Chardin, des existentialistes et des phénoménologues… Je viens de lui découvrir une nouvelle cousine dans un roman de science-fiction écrit par deux physiciens américains : « Au cœur de la comète » par Gregory Benford et David Brin. Ils formulent l’hypothése d’une « création » ou « évolution » en trois étapes : d’abord l’existence au début de l’univers, puis la vie, enfin la conscience, l’étape humaine de la planète Terre. Tenez, encore un arbre à cette forêt : « …Alors mes espoirs et mes aspirations, mes peurs et mes soucis peuvent m'apparaître comme étant les mêmes que ceux de milliers d'humains qui ont vécu avant moi. Et je peux espérer que ce que j'ai imploré pour la première fois il y a des siècles pourra m'être accordé dans quelques centaines d'années. Aucune pensée ne peut germer en moi qui ne soit le prolongement de la pensée d'un ancêtre ; il n'y a pas en réalité de nouveau germe (de pensée), il y a l'éclosion prédéterminée d'un bourgeon sur l'arbre antique et sacré de la vie…. ». (Extraits de Ma conception du monde, le Veda d'un Physicien par Erwin Schrödinger (Paris, Le Mail, 1982). Et qui est ce Schrödinger ? C’est un Autrichien du 20ème siècle. Il est l’un des pères de la théorie des quanta et l’inventeur du fameux chat de Schrödinger, ce qui ne l’a pas empêché d’obtenir le prix Nobel de physique. Si j’ai vu juste, les implications de ma théorie conduiront à des recherches appuyées sur la méthode expérimentale. Des milliers d’expériences scientifiques sont envisageables. Par exemple, on devrait pouvoir expliquer pourquoi les essais de Jacques Benveniste ne réussissent pas à chaque fois et aboutir à d’autres expériences, concluantes cette fois. Je ne veux surtout pas fonder une secte. Aussi longtemps que cette « Théorie de la Lutte pour l’Existence » paraîtra valable, je serai avec ceux qui la traitent comme la « Théorie de l’Évolution » : à la manière scientifique. Aucun dogme : tous les éléments de l’échafaudage peuvent être remis en cause. Et s’il advient que les vérifications expérimentales infirment la théorie, eh bien il faudra la mettre à la poubelle. Parallèlement, elle pourrait servir à bâtir des jeux électroniques complexes dont certains seraient utiles à la science : simulations de processus biologiques, ou historiques, ou même psychologiques. Ce « besoin d’existence » qui cheminerait dans la matière, c’était trop abstrait. Je lui ai donc trouvé un nom : « Mômmanh ». Un corps et un visage ? Là, c’était impossible. Pourtant, au fil des pages, cet obscur esprit qui œuvre inlassablement pour conduire la matière là où il fait bon, ce génie universel qui inventa la vie et la conscience, Mômmanh donc, émerge peu à peu des ténèbres et nous devient familière. Attention, une fois de plus : ce n’est qu’une hypothèse. Mais vous avez bien le droit d’aimer une hypothèse. Je l’ai enchâssée dans deux romans. Le premier, de 420 pages, contient la théorie. Sa lecture vous paraîtra sans doute ardue : c’est le prix à payer pour aller jusqu’au bout de ma réflexion.L’ouvrage comprend donc deux parties développées en parallèle : le roman et la théorie. Celle-ci, en caractères gras italiques, est facile à distinguer. Vous pouvez donc, si cela vous chante, ne lire que le roman. Il a pour titre « Mon Amour de l’An 2000 ». On a qualifié ce roman de "sentimental", mais il mérite aussi bien l'appellation "philosophique".Pour en avoir le coeur net, vous pouvez le télécharger à partir de cet espace. Le deuxième n’a que 320 pages, mais il ne contient pas la théorie. Mômmanh y est présentée comme un personnage imaginaire comparable à un dieu antique. Je l’ai intitulé : « De la Terre jusqu’au Ciel ». Vous le trouverez dans la bibliothèque en catégorie « roman sentimental», mais il aurait tout aussi bien sa place dans la case "roman fantastique". Vous pouvez acheter la version imprimée. Parce qu’il fait appel à toutes les dimensions de l’existence, l’amour convient particulièrement bien pour mettre en scène ce qui n’est encore, hélas, que « ma » théorie. Ainsi analysé et reconstruit, l’amour devrait vous apparaître encore plus merveilleux : agent essentiel de l’existence humaine et source de félicités sans pareilles. Et surtout, vous devriez réaliser, si ce n’est déjà fait, qu’il est à votre porte. INTRODUCTION A "DE LA TERRE JUSQU'AU CIEL" Il s’agit d’un roman d’amour de mon temps. Et j’ai vécu mes vingt ans dans les années 60. Depuis, l’homme et la femme ont bien changé, les rapports amoureux aussi. Cependant, comme pour la passion légendaire de la Belle Hélène ou celle de Roméo et Juliette, les leçons tirées de cet amour d’autrefois sont valables pour tous les temps, y compris le nôtre. Oui, les jeunes qui engagent leur vie en ce moment trouveront, s’ils cherchent bien, des lumières dans ce livre. C’est optimiste, non parce que l’auteur le souhaite, mais parce que la réalité entr’aperçue autorise de grands espoirs. Si j’associe l’An 2000 à cet amour éclos dans les années 60, c’est pour deux raisons. Premièrement, les héros étaient un peu en avance sur leur temps. Deuxièmement, pour cette époque qui adorait le « progrès », l’An 2000 était la ligne d’horizon au-delà de laquelle on devait basculer dans un autre univers, l’aboutissement probable de tous les progrès. Nombre d’entre nous croyaient préparer l’ « avenir radieux ». Il y a trois personnages centraux : Michel, Jeanne sa bien-aimée et un troisième, mystérieux : Mômmanh. Chaque fois qu’il est embarrassé, Michel prend conseil de Mômmanh. Il arrive aussi qu’elle intervienne sans qu’il lui ait rien demandé. Depuis qu’il l’a découverte, cachée dans les replis de son angoisse, elle accompagne ses jours et ses nuits. Mais qui donc est-elle ? On ne peut la voir. On ne peut la toucher. On ne peut la sentir. « -Peux-tu me dessiner Mômmanh ? -Impossible. » Et pour l’entendre, il faut avoir des ouïes spéciales, comme Michel. Peut-être qu’elle est l’obscur esprit, la soif d’exister, qui échapperait aux analyses physico-chimiques de la matière et qui pourtant participerait à l’invention de la vie ? Peut-être serait-elle l’âme de notre mère la nature qu’il nous faudrait sans cesse interroger si nous voulons survivre ? Il existe une autre version, beaucoup plus longue, où Mômmanh se métamorphose. De génie imaginaire elle se transforme en hypothèse susceptible d’éclairer le mystère de la vie. Autrement dit, elle devient une théorie scientifique sans prétention. L’auteur vous invite à vous demander : « Et si c’était vrai ? ». Et pour avoir des chances de répondre, il faudrait soumettre cette théorie à de multiples épreuves scientifiques. Cette version longue s’intitule simplement « Mon Amour ». C’était le premier titre de l’ouvrage unique qu’Alexandrie Online publia sur le WEB en 2001. Depuis, sur ce site et ailleurs, des milliers d’internautes l’ont découvert. C’est pourquoi j’ai conservé son titre. sss

    29/05/2008 - 16:19


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