Commentaire de Woland :
C'est certain, il faut relire le texte et corriger ses fautes de frappe en gommant quelques maladresses tout-à-fait normales, s'il s'agit d'un premier roman. Mais cela n'est guère important en regard de la finesse et de la justesse avec lesquelles sont exprimés les sentiments de l'héroïne et sa vision de l'existence. La façon dont l'actualité de l'enfance et de l'adolescence (la petite Colombienne, la navette Challenger, etc ...) rehausse l'analyse que Marie fait de ce qu'elle éprouve m'a paru particulièrement bien amenée. Un tout petit bémol : Patrick et Jean sont beaucoup plus "éthérés." Or, puisque tous deux ont retenu l'attention de Marie, c'est qu'ils ont quelque valeur. Aussi me semblerait-il bien venu de les "compléter" même si cela accroissait la longueur du roman qui reste, en tous les cas, prometteur.
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