Commentaire de Sullivan :
Verdeur et truculence semblent être les maîtres mots de cet ouvrage , les mots semblent happer le lecteur sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, on se sent comme déshabillé par
les sonorités, la musique criarde et paillarde, c'est une joyeuse
"partouze" de mots ,l'impolitesse des mots érigée en vertu car les mots polis sont, polissons restent.
Sullivan
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Réponse de l'auteur au commentaire de Sullivan : Merci pour cette évaluation! Ici, dans ce "Grand Hôtel du Merdier", c'est vrai qu'on n'est plus sur la planète Terre dans un million d'années : ce n'est en effet plus du tout le même registre!
Il faudra que, par la suite, je "persévère" dans cette voie... Mais en me "renouvelant" si je peux!
Pour la "petite histoire", de ce livre, je me suis inspiré d'un "vieux texte" que j'avais écrit voici bien des années ( en 1969 ) alors que je demeurais dans une chambre d'hôtel à Paris, et que je "bossais" au centre de tri postal Paris gare PLM...
Par contre, pour la 3ème partie, (l'Oeuvre commune) je me suis inspiré d'un autre texte que je "bricolais" au guichet d'un bureau de Poste, à Laluque, dans les Landes : Y'avait pas un chat dans le bureau, je m'emmerdais royalement, et j'ai eu l'idée de cette "élucubration à la Dali"! (si l'on peut dire!)...
En fait, dans ce texte, mine de rien, j'ai voulu faire passer, disons, un certain nombre de choses... J'étais alors dans une période dans laquelle j'en avais marre de rédiger des textes sur des sujets d'actualité, comme je le faisais entre 2001 et 2003 pour le courrier des lecteurs (Sud Ouest, Marianne...)
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