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    COMMENTAIRES




    Guy SEMBIC
    Grand Hôtel du Merdier



    Lecteur : SullivanEvaluation : 14/12/2006

    Verdeur et truculence semblent être les maîtres mots de cet ouvrage , les mots semblent happer le lecteur sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, on se sent comme déshabillé par les sonorités, la musique criarde et paillarde, c'est une joyeuse "partouze" de mots ,l'impolitesse des mots érigée en vertu car les mots polis sont, polissons restent. Sullivan

    Réponse de l'auteur



    Lecteur : CouperineEvaluation : 10/02/2010

    Avec une telle verve, Guy Sembic est à associer à de grands auteurs, je pense notamment à Céline. Il nous souhaite bon courage pour la lecture de ce livre. Pourquoi? Les images alambiquées, surréalistes, épouvantables donnent à réfléchir. Un livre à lire sans attendre !



    Lecteur : babychouEvaluation : 27/11/2007

    ayant eu la chance de t'entendre lire tes textes (ce qui les rends encore plus savoureux),je voulais t'engager à faire un"one man show".Ce n'est pas une blague ,c'est très sérieux.Ce n'est plus un éditeur qu'il faut chercher,mais un producteur! ayant vagabondé sur Alexandrie, j'ai lu un forum où tu parlais de faire des livres à lire.C'est également une très bonne idée,mais il faut que ce soit toi qui lise Ces digressions ne m'empêche pas de penser que de tes ouvrages se dégagent force,puiss... [lire la suite]

    Réponse de l'auteur



    Lecteur : BecdanloEvaluation : 31/10/2005

    Bon, il ne fallait pas s’attendre à de l’eau de rose…mais tout de même il y va fort l’ami Sembic ! Ce qui est surprenant c’est qu’il arrive à faire éclore des roses sur des monceaux de fumier ! Exemple, cette rencontre fugace dans les transports en commun: « Nos regards se croisent. Son sourire est crispé. Ses yeux noirs. Son visage soudain délivré dans la lumière vive de cette nuit d’après midi. Je sens ces épluchures d’elle, comme éclaboussées de se... [lire la suite]

    Réponse de l'auteur



    Lecteur : IshtarEvaluation : 14/03/2006

    Ca y est ! On a trouvé le remplaçant de Frédéric Dard.... il se cachait sur Alexandrie Online ! Cher Yugcib... que dire de ton Grand Hôtel du Merdier... sinon que tu t'es certainement laissé partir dans un de tes délires, dans une énumération burlesque d'une histoire abracadabrante sortie de ton imagination fertile (il faut arrêter de fumer la moquette Guy) (sourire) Je suis en mesure d'avouer que tu es un fameux obsédé textuel, une sorte de fécondeur de mots et... il ne faut certai... [lire la suite]

    Réponse de l'auteur



    Lecteur : AtelecritEvaluation : 15/07/2006

    Yougcib a écrit un essai de pure géométrie viscérale et en quatre dimensions! La quatrième étant bien-sûr l'odeur qui accompagne tout ce qui jute, saigne, morphe, pète et rote!! Un merdier! ..oui mais pas merdeux! Ca baigne dans des odeurs corporelles, mais pas de nausée! Ca vit quoi! Ca gicle de partout mais ça ne salit pas! ...du Dali mais en mots!c'est "musclé"!! (comprendre, ça a l'odeur du musc, c'est pas du muscat, du muscadet, ça ne fleure pas bon le muscari mais ça ramone, là où ça passe... [lire la suite]



    Lecteur : WolandEvaluation : 13/10/2006

    Il y a ici une jouissance des mots et des assonances qui évoquent à la fois Rabelais et les Surréalistes, le tout saupoudré de Selby, voire de Burroughs. C'est le côté noir de l'auteur qui s'exprime, crûment, parfois très grossièrement, parfois aussi avec une tendresse étrange. Les chats sont appelés des chats et un rat reste un rat. Un ouvrage dont le ton, sous sa liberté apparente, est en fait très travaillé. Une espèce d'Ovni non utopiste dans l'oeuvre de l'auteur. ;o)

    Réponse de l'auteur



    Lecteur : AntoineEvaluation : 12/11/2006

    Dans "L'insoutenable légèreté de l'être", Kundera écrit : "le kitsch, par essence, est la négation absolue de la merde". La culture kitsch est celle, en effet, qui tend à nous montrer le monde dans lequel on vit comme quelque chose d'abouti, d'admis ; la vie est ce qu'elle est, et elle est belle. Le kitsch, ce sont les paillettes et le rêve de la Star Académy, les sandwiches de McDo, les séries américaines, la fraternité des chanteurs de variété. L'existence de l'Homme a un sens, et rien en lui ... [lire la suite]



    Lecteur : balain1397Evaluation : 12/03/2008

    L'auteur est un A.V.N.I ( Auteur Virulent Non Identifiable ) un RABELAIS des Temps Post Moderne et du Futur présent. " C'est une œuvre impie, iconoclaste, barbare" " Hermétique au possible sur de longs paragraphes, sale et déroutante en d’autres." Dixit l'auteur. J'ajouterai que c'est un tas de fumier en décomposition qui fermente. Toujours selon lui " Nous ne sommes plus même dans le surréalisme mais plutôt dans l’absurde, dans des jeux de mots tirés par les cheveux, des images enchevêtrées, de... [lire la suite]



    Lecteur : DenerEvaluation : 17/12/2005

    A relire....... Moi j'aime bien ce chaos qui mène à un ordre différent....Cette confusion qui apporte la clarté, même si elle est parfois scatologique. Ce n'est pas dérangeant.

    Réponse de l'auteur



    Lecteur : PhilipumEvaluation : 18/03/2007

    Si on comparait un texte à un cours d'eau... certains ressembleraient à des torrents tourbillonnants, d'autres à de claires rivières rafraîchissantes, ou longs fleuves aux calmes méandres qui se jettent dans l'océan... le "Grand Hôtel du Merdier" s'apparenterait plutôt à un marécage fétide au-dessus duquel dansent d'étranges feux follets... Ecrire une oeuvre avec un tel vocabulaire de caca puant dégueulasse (et quel répertoire !) et réussir à la rendre délicate et poétique, je dois avouer ... [lire la suite]

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