Commentaire de Ishtar :
La triste histoire de Serge Montorgueil est tellement percutante de vérité que j'en suis encore bouleversée...
Au moment où une personne reçoit le diagnostic d'une maladie incurable, la mort devient comme une sonnette d'alarme qui ne s'arrête plus de sonner.
Le temps qui reste à vivre donne au malade une autre perception du monde et de ses La triste histoire de Serge Montorgueil est tellement percutante de vérité que j'en suis encore bouleversée...
Au moment où une personne reçoit le diagnostic d'une maladie incurable, la mort devient comme une sonnette d'alarme qui ne s'arrête plus de sonner.
Le temps qui reste à vivre donne au malade une autre perception du monde et de ses priorités.
Le temps qui reste à vivre offre l'opportunité de régler toutes sortes de choses émotionnelles, il est propice au pardon et permet au malade de préparer ses proches à son départ.
Le temps qui reste à vivre offre la possibilité de terminer et de régler toutes les tracasseries administratives qui étaient en cours, il permet de boucler tous les inachevés de la vie.
L'intrusion de la mort a généralement un puissant impact sur le malade... cela lui permet de vivre un restant de vie où les couleurs et les sons sont plus intenses, où les sourires et les rires sont irrésistiblement contagieux, où les caresses et les embrassades sont plus chaudes et plus tendres...
L'épitaphe résume admirablement ce que je viens de dire : "Serge Montorgueil, novembre 1961 - avril 2004, un homme qui a découvert l'intérêt et la beauté de la vie au moment où il allait mourir. Qu'il repose en paix"
C'est tellement vrai !priorités.
Le temps qui reste à vivre offre l'opportunité de régler toutes sortes de choses émotionnelles, il est propice au pardon et permet au malade de préparer ses proches à son départ.
Le temps qui reste à vivre offre la possibilité de terminer et de régler toutes les tracasseries administratives qui étaient en cours, il permet de boucler tous les inachevés de la vie.
L'intrusion de la mort a généralement un puissant impact sur le malade... cela lui permet de vivre un restant de vie où les couleurs et les sons sont plus intenses, où les sourires et les rires sont irrésistiblement contagieux, où les caresses et les embrassades sont plus chaudes et plus tendres...
L'épitaphe résume admirablement ce que je viens de dire : "Serge Montorgueil, novembre 1961 - avril 2004, un homme qui a découvert l'intérêt et la beauté de la vie au moment où il allait mourir. Qu'il repose en paix"
C'est tellement vrai !
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