Commentaire de Ishtar :
Et dire que j'avais toujours cru qu'écrire un scénario, c'était le contraire de l'écriture... avec vous Michel Redjah, je constate que je ne fais plus vraiment la différence entre les mots et les images. Lorsque je lis la Sultane, je me fais mon film dans la tête.
En ce qui concerne l'histoire, elle me fait songer aux nombreuses magouilles qui sortent au grand jour actuellement aux infos. Il est certain que le droit français ou belge ne condamne pas l'utilisation de sociétés offshore... le droit condamne la défiscalisation, les faux-bilans et la fraude fiscale. C'est choquant pour nous, petit contribuable, obligé de payer nos impôts au Gouvernement. L'on se sent floué par le jeu des hommes d'affaires et des politiciens obsédés par le Pouvoir et l'Argent... surtout si l'on sait que l'utilisation des sociétés offshore permettent aux trafiquants de drogues et d'armes, d'opérer des transferts de fonds dans le monde entier sans qu'il soit possible de constater ces malversations.
Finalement, votre Bernard Delaforge s'en tire à bon compte... avec l'aide de Lefallec, il s'est débarrassé de la voletaille encombrante et gênante et une fois les feux de la rampe éteints, Mondialprésent pourra comme le passé continuer à gérer ses capitaux venant des trafics de drogues et d'armes...
Je tiens à saluer le courage de votre Edith Remana qui a eu le cran de dénoncer, au péril de sa vie, les agissements et les magouilles au sein de sa société... même si cela ne servira pas vraiment à grand chose !
Au plaisir, peut-être un jour, de pouvoir voir votre histoire dans les salles obscures.
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