Et dire que j'avais toujours cru qu'écrire un scénario, c'était le contraire de l'écriture... avec vous Michel Redjah, je constate que je ne fais plus vraiment la différence entre les mots et les images. Lorsque je lis la Sultane, je me fais mon film dans la tête.
En ce qui concerne l'histoire, elle me fait songer aux nombreuses magouilles qui sortent au grand jour actuellement aux infos. Il est certain que le droit français ou belge ne condamne pas l'utilisation de sociétés offshore... le ...
L'intrigue retient l'attention mais les personnages m'ont paru un peu trop stéréotypés. Peut-être, sous une forme de roman, cela aurait-il mieux passé ? Car les dialogues, très précis, relèvent à mon avis plus du roman - et du roman dense - que du scénario.