Commentaire de mahaut :
Cecil et Enrique, deux compagnons de galère, nous entraînent dans une suite rocambolesque de rebondissements improbables
Avec une langue d'une verdeur de bon aloi, c'est cela qui fait le délice de ce récit léger et vivant.
Un nombre impressionnant de "C" majuscule sans cédille peut rebuter mais la richesse des formes et la légèreté du style le font oublier rapidement.
J'ai beaucoup aimé votre texte, Monsieur Matrot
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