Je donne presque la même note qu'au Témoin de l'Aube (ah! le salaud! va-t-on dire...) pour une raison différente. Sur sept pages, rien à redire, vraiment rien, mais alors rien du tout. Voilà qui est original, tiens, une goutte d'eau qui ne se comporte pas convenablement. Le style (implacable) est encore au rendez-vous, on ne sait ce qui va advenir de cette goutte étrange ni du narrateur.
Et alors vient la conclusion. Certes hallucinante, mais arrivé à un certain point je n'arrive pas du tout à y croire: c'est un peu trop... Mais si je n'y crois plus, c'est aussi à cause du parti pris de la première personne. Une narration externe ne m'aurait pas procuré la même impression. Alors, me voilà encore une fois sévère. Pardon.

Re (cf. témoins de l'aube).
La première personne... Le problème c'est que c'est ma préférée, là où j'ai l'impression que mon texte est vraiment dynamique et percutant... Y croire... J'y crois moi :P Pour faire simple, j'ai plusieurs nouvelles autour de cet univer et si tu as bien lu entre les lignes du "témoin de l'aube" tu verras quelles sont corrélées (mais il faut mieux lire dans le sens goutte puis témoin)... En tout cas si tu n'es pas convaincu j'espère que tu le sera après avoir lu "L'arbre" (à paraître)... J'espère que tu auras pris plaisir à me lire.

Merci

Eleken.
PS : tu as beau te dire sévère tes commentaires sont plein de compliments et de remarques intéressantes... Et puis il me reste tant à apprendre ;)