Commentaire de Georges :
En recherchant dans l’histoire de sa famille les éléments souvent tragiques qui ont conditionné sa propre existence, Gérard Barrau croit y voir le mauvais sort attiré sur les siens par cet ancêtre de l’Aveyron venu chercher fortune à Paris. C’est l’ « impitoyable destin ». Au passage, il en profite pour rendre justice à son père, fusillé injustement et sans procès pendant les troubles de la Libération, en 1944.
L’histoire est émouvante. Un épisode heureux de sa vie évoque le paradis perdu : une vie simple et paisible au pied des Pyrénées, dans une famille de braves paysans qui le traitent aussi bien, sinon mieux, qu’un fils. A part cela, beaucoup de tragédie et les trahisons de la vie en cascade. Nous sentons bien la révolte contre tout et tous qu’éprouve cet adolescent.
Bref, nous avons là un rameau d’histoire vivante.
Mais ! mais la langue française est massacrée : orthographe, syntaxe, vocabulaire, ponctuation, maladresses. Et si Gérard Barrau réécrivait son histoire en collaboration avec un écrivain qui le comprenne bien ?
Georges.
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Réponse de l'auteur au commentaire de Georges : Merci Georges,le commentaire démontre une parfaite compréhention de la lamentable histoire de ma famille a laquelle je suis tout de meme fier d'appartenir ce qui est une des raisons d'avoir pris le risque de mettre sur papier les sentments par lesquels ma jeunesse a ete secouée je remercie la vie qui m'a tout de meme permit de garder l'equilibre sans lequel je ne serais plus de ce monde a prendre le plaisir de correspondre avec vous. Je dois cerainement massacrer notre langue l'orthohraphe n'a jamais ete ma tasse de the et si j'oubli la ponctuation c'est que j'ai longtemps travaillé en langue anglaise lorsque j'etais dans l'aviation. Je ne suis pas un ecrivain Georges, si j'ai commencé a noircir du papier c'est apres avoir ete victime d'un hemyplegie pour ne pas sombrer dans la deprime comme je suis agé de 75 ans je n'ai ayucun objectif litteraire mais suis toujours heureux de decouvertes gerard
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