Lamentable histoire de votre famille ! Ce n'est pas ainsi que je le vois Monsieur Barrau. Votre grand-père était un homme courageux; il a prit sa destinée en main et suite à un coup de chance, il a fait fortune à Paris. Votre grand-père n'était pas un homme impitoyable; c'était un homme sensible et qui s'est longtemps culpabilisé de la mort de ses parents. Quant à votre père, il lui a fallu du temps avant de se rendre compte que le bilan de sa vie était négatif et pourtant, il faut vous di... [lire la suite]

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Passionnant ! Et ceci malgré une mise en page qui mériterait - à mon sens - d'être revue et quelques fautes et lourdeurs qu'il faudrait supprimer dans l'intérêt même de ce texte remarquable, poignant et pourtant sobre, où l'auteur a su faire passer toute la douleur causée par la mort injuste de son père. Quelques vérités sont ici écrites noir sur blanc - notamment sur les RDH ou "Résistants de la Dernière Heure" qui se conduisirent de façon infâme à la Libération. Cette période ... [lire la suite]

Réponse de l'auteur

L’écriture de sa biographie est un exercice fort difficile, et je ne voudrais pas faire redondance des précédents commentaires. Cependant, Monsieur Barrau, votre saga m’a vivement émue et concède une réflexion sur ses propres choix. Je comprends aisément, étant donné votre jeune âge, la haine que vous éprouviez pour votre père après son décès, comment pouvait-il en être autrement ! Confirmation est encore faite que rien n’est plus destructeur que le silence et votre père n’aurait pas subi ce « ... [lire la suite]

Réponse de l'auteur

En recherchant dans l’histoire de sa famille les éléments souvent tragiques qui ont conditionné sa propre existence, Gérard Barrau croit y voir le mauvais sort attiré sur les siens par cet ancêtre de l’Aveyron venu chercher fortune à Paris. C’est l’ « impitoyable destin ». Au passage, il en profite pour rendre justice à son père, fusillé injustement et sans procès pendant les troubles de la Libération, en 1944. L’histoire est émouvante. Un épisode heureux de sa vie évoque le paradis perdu... [lire la suite]

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