Commentaire de Woland :
L'histoire en elle-même : en apparence, ce pourrait n'être que du "gore" mais c'est bien plus que cela. Beaucoup de sensibilité, quelque chose de visionnaire, de différent, d'original - et donc quelque chose de particulier à l'auteur et qu'il faut à tout prix qu'il cultive encore. Je puis me tromper mais il y a beaucoup de "non-dits" dans ce cauchemar étouffant où la dernière parole du Boucher est à la fois terriblement féroce et miséricordieuse.
Je retrouve ici ce que je pressentais dans "9 heures A.M." mais beaucoup plus abouti, plus travaillé. Un auteur jeune mais à suivre et qui doit continuer à prendre confiance en lui.
Seul reproche - mais celui-là n'est que technique : il est donc facilement réparable ;o) : l'orthographe et les lourdeurs dans le style. Il faut trouver une solution car cela peut lasser le lecteur impatient et ce serait dommage.
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