Ignoble, terrifiant, l'univers de cette nouvelle laisse pantelant
En cela, il atteint son but : on en oublie l'écriture pour être plongé jusqu'aux oreilles dans un sang visqueux, et jusqu'au nez dans le putride de la mort décomposée...
Texte remarquable. d'une puissance redoutable. (A épargner toutefois aux âmes sensibles.)
Le style est assez bon de l'auteur. C'est dommage que quelques fautes sont encore visibles.
L'histoire est prenante et saisissante. Les descriptions sont très bonnes et permettent aux lecteurs de se faire une opinion des lieux où se trouve la fillette ainsi que de ce qu'elle voit.
J'aime beaucoup la perception de l'angoisse qui sort de cette nouvelle.
On a peur avec la fillette et avec elle on veut savoir son destin.
Une très bonne nouvelle bien gore qui n'est pas sans me faire penser...
Le thème dominant de cette Nouvelle d'Eleken est basé sur le machiavélisme sadique d'un boucher assassinant des enfants.
Si l'on aime des histoires qui font frémir et donnent froid dans le dos; celle-ci fait partie de la catégorie "bin gore trash".
Eleken a le don "du mal" (sourire); son style est trouvé et son écriture ressemble terriblement à celle de Maxime Chattam.
Le seul hic (j'insiste) est le manque de rigueur dans les corrections de cette "épouvantable" Nouvelle; la note de 8/1...
L'histoire en elle-même : en apparence, ce pourrait n'être que du "gore" mais c'est bien plus que cela. Beaucoup de sensibilité, quelque chose de visionnaire, de différent, d'original - et donc quelque chose de particulier à l'auteur et qu'il faut à tout prix qu'il cultive encore. Je puis me tromper mais il y a beaucoup de "non-dits" dans ce cauchemar étouffant où la dernière parole du Boucher est à la fois terriblement féroce et miséricordieuse.
Je retrouve ici ce que je pressentais dan...
Autant d’imagination dans l’atrocité, c’est inouï ! Cette nouvelle est absolument remarquable dans le genre littérature de fantastique et d’horreur. Les détails sordides ne manquent pas et donnent une vision surréaliste du décor, mêlé de chair, de sang, de corps massacrés et dépecés par un boucher morbide. Des guirlandes d’intestins et autres « fantaisies » pour décorer un sapin de Noël, mumm, croustillante image ! Mais ce que je retiens de plus fort tient à la description sombrement tangible de...
Comme" le témoin de l'aube " l'auteur dans cette nouvelle nous décrit sans euphémisme le comble de l'horreur dans un style toujours mesuré sobre et cruellement réaliste;
Les quelques fautes grammaticales( si l'auteur est intéressé je les lui communiquerai) ici et là, n'enlèvent rien à l'émotion qui nous saisit en liant cette oeuvre magistrale.
Didier Mérilhou
Permettez-moi de commencer par une petite prière : Mon Dieu, faites que cette nouvelle ne tombe jamais entre les mains de ma fille lorsqu'elle sera en âge de lire. Amen. Pour le reste, l'horrible et le macabre ont aussi des possibilités artistiques, et dans le genre je dois dire que Eleken traski se débrouille plutôt bien. Même le plus grand spécialiste en film d'horreur frémirait à fréquenter ce texte. J'y ai aussi appris le comble du cynisme : un sapin de Noël décoré façon Boucher. Tout écriva...