Comme pour les autres textes, Bruno, voilà un langage comme je l'aime.

Que ce soit un essai ou une biographie, ce qui nous est donné à lire se lit comme un roman, nous est rendu très proche.

Déjà sensible à la question, je n'avais pourtant, avant de lire ceci, aucun argument valable à opposer à ceux qui me disent l'innocuité du nucléaire et combien il est nécessaire à notre économie. Maintenant, j'en ai.

Un regret, cependant, même si il est clair que l'éolien n'est potentiellement dangereux... que pour les lapins, votre essai n'aborde pas la globalité du problème, surtout la partie "terre en danger".


On se rend, en revanche, bien compte que, si le problème est bien dans les mains des politiques, il est de notre devoir de citoyen de faire pression sur eux pour qu'ils prennent des décisions qui vont dans un autre sens que celui du directement exploitable (et financièrement profitable). Nicolas Hulot a essayé. Peut-être trop vite abandonné ou fait confiance. Le reste est donc dans nos mains de citoyen capable d'une initiative privée. Si j'ai bien compris, elles mettent les édiles dans l'obligation d'envisager les choses globalement.
Merci, Bruno, d'avoir rendu ce problème dans un texte aussi clair et aussi vivant.

Merci pour ce commentaire, Marianne. En effet, il semble bien que ceux qui pensent que cette démarche est bonne doivent rassembler leurs forces, leurs voix, leurs moyens, pour forcer les barrages politiques et financiers. Il faudrait un immense élan de solidarité, mondial. Il reste peu de temps, mais assez pour imaginer et lancer un combat.
Concernant ce que tu penses ne pas avoir été assez abordé dans cet essai, je ne pense pas qu'on puisse faire une liste exhaustive de tous les dangers. Mais des principaux, c'est possible, et ça fait déjà beaucoup. J'essaierai de m'y employer, surtout en rassemblant ce qui existe déjà.
Merci encore.