Commentaire de Ishtar :
Que de soucis et de tracas dans les histoires de Jean Matrot (sourire).
L'innocence même, c'est Jean-Luc, Louise, Micka, un beur, un black, un blanc belliqueux... tout celà à Montreuil, dans un univers impitoyable avec des "merdeux" bâtis comme des portes de chiottes, de la came, des lecteurs DVD, des téléviseurs Plasma.
L'agneau dans le navarin, c'est Micka, pas si innocent que ça.
Montreuil, la ville où tout a commencé et où tout va finir, où l'atmosphère est lourde comme un cassoulet toulousain, où l'on pratique la tondeuse hollandaise et le coït à la tonkinoise.
Atmosphère noire à la Borniche... je suis vraisemblablement une adepte matrotienne... J'adore, que dis-je... c'est génial.
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