Le roman donne la parole à des protagonistes de la région qu'on a peu l'habitude d'entendre. Mais tous les fauteurs de trouble, de quelque bord qu'ils soient, en prennent pour leur grade. En effet, le héros n'a de cesse de rechercher le véritable ennemi de son pays - je laisse aux autres lecteurs le soin de le découvrir - et c'est avant tout, un conte de paix, agréable à lire, avec de petites longueurs, sans conséquence, sur la fin.

Michelle,
Je répond bien tardivement à votre commentaire concernant le cedre pour la paix dont la reception m'a procuré le plaisir d'une franche critique qui puisse me permettre de corriger mes lacunes.Je suis loin d'être un écrivain et je ne pense pas devenir l'auteur d'un best sealer futur.
Vous avez vu juste, car sans savoir écrire correctement j'ai voulu dire ce que je pensais de certaines organisations dont le but n'est que d'amplifier les antagonismes existants, comme vous dites justement ils en prennent pour leur grade, mais cela ne change rien, j'ai voulu dire aussi, et cela est pour repondre à un autre commentaire, que c'est l'argent qui est le maitre d'oeuvre principal de chaque conflit et que le reel ennemi du liban est cet argent sale que personne controle.Je vous remercie Michelle j'attend le pouvoir de lire un de vos écrits. A bientot Gérard