Commentaire de GUISNOOT :
Ecrire c'est toujours prendre le risque de ne pas être entendu. Qu'il est délicat alors d'évaluer un ouvrage rempli de bons sentiments et riche d'une expérience chargée de souffrance et d'épreuves terribles.
Bien des fautes de frappe et des fautes d'orthographes nécessiterait une correction. Le style est un peu lourd, mais ceci n'est pas bien grave, seul votre envie d'écrire doit persister.
Bon courage. Didier Mérilhou
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Réponse de l'auteur au commentaire de GUISNOOT : Cher Didier.
Votre commentaire m'est très sincerement precieux,mon 1er écrit, vous avez bien raison est un nid de toutes les fautes que ne doit pas faire un écrivain à 78 ans, apres avoir pris le temps de vivre des années innoubliables, j'ai voulu mettre sur le papier certains évenements vécus afin de tenter de faire comprendre une partie des sentiments par lesquels je crois être habité, ceci sans avoir la prétention de me prendre au sérieux. Les pages de cet écrit veulent malgré les fautes, representer un cri contre toutes les guerres et divers conflits dont souffre notre humanité de par ses propres fautes qui dont entre autres la perte de liberté causée par notre amour de l'avoir ,de par les croyances dogmatiques imposées à notre spiritualité qui lui font perdre sa vérité originelle .Un cri aussi contre tout racisme qui est la cause de notre division utilisée pour mieux nous controler.Un cèdre pour la paix a été imprimé en 20 exemplaires à compte d'auteur.Je possède de reels frères palestiniens, israeliens et libanais et je sais que ces 3 là n'auraient jamais étés en conflits entre eux si il n'y avait pas eu l'intervention d'influences
béliqueuses pour que les de manières de penser deviennent
conflictuelles.
merci Didier gerard henri barrau
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