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DROIT DE REPONSE
Gérard Henry BARRAU Un cèdre pour la paix
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Commentaire de Woland :
L'amour porté par Gérard Barrau au Moyen-Orient et tout particulièrement au Liban perce ici à chaque phrase, à chaque péripétie. Il y a vécu - si j'ai bien compris - et cela est donc tout-à-fait normal. Il souhaite, comme tant d'autres, voir la Paix s'y rétablir un jour et ce roman est, si j'ose dire, une sorte de prière laique en ce sens.
L'ensemble me semble pourtant souffrir d'un manque de naturel, surtout les dialogues avec, par exemple, cet "archange" que Hanna donne et redonne au protagoniste principal. Cela sonne peut-être bien en libanais ou en hébreux mais lu comme ça ...
Il est vrai que je suis agnostique et que le sujet ne m'accroche probablement pas assez. Tous ces gens qui se battent pour un bout de terre en prétendant de tous les côtés que Dieu (!!!) le leur a donné éveillent, je le confesse, mes instincts les plus voltairiens. Désolée. ;o)
Mais revenons aux détails techniques et littéraires sur lesquels portera mon appréciation finale.
Si l'intrigue est bien charpentée, le style, je l'avoue, pèche beaucoup - sans même compter les fautes de frappe et les répétitions. En outre, les personnages - sauf peut-être Henry mais n'est-ce pas celui que l'auteur connaît le mieux puisque, si l'on se réfère à la couverture de l'ouvrage, nous nous trouvons face à une autobiographie ? - sont très stéréotypés. Trop pour moi. Trop d'action aussi peut-être et pas assez d'analyse ? ... Il y a des moments où je me suis lassée, d'autant que, comme dans tout ouvrage, il y a quelques longueurs superflues.
Bref, j'ai de beaucoup préféré "Impitoyable Destin" mais, je le répète une fois de plus pour ce roman-ci, mon avis reste personnel et je m'en voudrais de blesser l'auteur qui, je l'espère, ne me tiendra pas rigueur de ma franchise. ;o)
| Son évaluation :
| Réponse de l'auteur au commentaire de Woland : Merci de ce commentaire jolie Woland, pour y répondre je ne vais pas traduire WO de l'anglais qui n'est pas très gai s'il se termine avec un e ,ce n'est pas ici le cas, land peutêtre aussi traduit par terre promise ce qui laisse un peu d'espoir. Quoiqu'il en soit votre analyse du Cêdre est surprenant de réalisme,il est mal écrit, les pages sont pleines de fautes et de répetitions, je ne suis pas un litteraire et ne le deviendrai jamais, pour cela il faut posseder quelques dons que je suis loin de tenir en magasin, c'est mon premier écrit, mais comme vous l'avez décelé, je l'ai écris avec amour, je suis marié avec une libanaise et le hero Henri est l'un de ses freres encore en vie, les deux autres sont retournés visiter les ancêtres avec lesquels ils ont l'air de s'entendre parcequ'ils ne sont pas encore revenus. La plus part des evenements relatés sont réels c'est pour cette raison que ce récit vous semble quelque peu stéréotypé, sans connaitre les ficelles litteraires j'ai voulu ne pas trop imager les violences auxquelles j'ai assisté.Croyant mais très loin d'être religieux, j'ai tenté de lancer un cri d'humanisme en mauvaise position dans cette région du monde que j'aime malgré tout.Merci de tout coeur Charmante terre promise Debernet
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