Cette nouvelle est courte, mais ô combien délicieuse. La cause du chagrin de Mark n’est pas vraiment définie, mais il est palpable. Certes, il souffre, mais n’y a-t-il pas plus malheureux que lui ? Au fond de lui, il le sait, mais ne se l’avoue pas, c’est l’inconnue qui parle pour lui.
Lorsque le désespoir insidieusement s’installe, les idées se parent de noir, les pastels disparaissent et le négatif prime. Les bons moments, les jours heureux sont punis, au coin avec leur bonnet d’âne, ils n’ont pas le droit de se manifester. La solitude, seul dans ce grand monde, plus seul encore que les plus délaissés, au font du gouffre, le cri silencieux, les larmes refoulées, le désespoir est à son apogée… et une lueur surgit.

Plusieurs thèmes sont abordés dans cette histoire profonde de vérités, elle est bien menée et l’on ne devine la fin… qu’à la fin.

Merci beaucoup pour cette très jolie critique... Je crois que je n'ai vraiment rien d'autre à ajouter.
Ah si, une chose : je vais de ce pas relire cette nouvelle, vous m'en avez donné l'envie ! ;)