Le style est fluide, l'écriture claire et enjouée. Toutes les caractéristiques de la nouvelle sont là. Dans ce recueil, j'ai apprécié Le Testament, commençant un peu à la manière de l'Etranger de Camus: "Ainsi donc, moi, Pierre Lafarge, je suis mort. Je ne sais trop dans quelles circonstances cela s'est produit - ces derniers temps ma mémoire se perdait déjà -, mais cela est, puisque vous voilà devant mon cercueil, la larme à l'oeil [...]".
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