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COMMENTAIRES
Roland Michel TREMBLAY Underground
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Lecteur : Couperine | Evaluation :
| 10/02/2010 |
Comment qualifier ce livre ? Roman ? Roman-fiction ? En tous les cas, le terme chef-d'oeuvre semble approprié ! On entre directement dans l'univers de l'auteur avec un style direct, incisif, qui n'appartient qu'à lui. A lire sans attendre !
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| Lecteur : elam | Evaluation :
| 7/07/2010 |
Underground… c’est une station de métro londonienne, située à Paris, sous le parc Montsouris ! Une sorte de plaque tournante spatiotemporelle permettant au héros de voyager, à demi conscient, dans les profondeurs de ses angoisses… Cette partie du roman, qui est infiniment réduite, microscopique par rapport au reste, possède la force d’attraction d’un trou noir, telle la menace d’autodestruction qui pèse sur l’humanité, ou la pulsion de mort qui leste, souterrainement, chacun d’entre nous.
René,...
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| Lecteur : Woland | Evaluation :
| 4/03/2007 |
Nous sommes ici bien loin de "Denfert-Rochereau." Si l'on se veut honnête et si l'on se cramponne à sa lecture, on décèle vite pourtant qu'il y a ici une réflexion profonde - notamment bien sûr sur l'homosexualité, son vécu et aussi les relations qu'entretiennent avec elle la société et ... la religion. L'auteur est cultivé et cherche à créer quelque chose de différent mais la forme adoptée est-elle bien la meilleure pour ce faire ? Ces irruptions fréquentes de l'anglo-américain dans un fra...
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| Lecteur : Imaginus | Evaluation :
| 20/07/2004 |
Je crois sincerement que les anglicanismes à gogos dans le premier chapitre sont rapidement venus à bout de ma patience. Je n'aime pas faire marche arriere lorsque je lis. On a l'impression que l'auteur a pas mal de chose à dire et du coup ca part dans tous les sens mais cela n'est pas maitrisé. Dommage...
NB: L'auteur est d'origine Québecoise, ce qui explique les anglicismes faisant partie du langage courant des nos amis outre-atlantique. Le modérateur
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| Lecteur : Serguei | Evaluation :
| 7/05/2005 |
Si je vais au restaurant, ce n'est pas pour manger du chou cru. Pareillement, si je veux lire les états d'âme mal dégrossis d'un frustré, d'un menteur ou d'un mal aimé, je lis les innombrables blogs qu'on trouve sur le net. Mais quand je lis un "livre", j'attends de l'auteur un travail stylistique, une distanciation, une recréation symbolique, une vision, bref de la poésie ou à défaut de la littérature. Là, j'ai pas trouvé ça.
Et puis, truffer son écriture de tous ces régionalismes québécois, ... Réponse de l'auteur
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