Pièce surprenante à plus d'un titre. Le style est très soutenu (d'où la nécessité de corriger les fautes d'accord et des maladresses comme "Vous avez enfanté ma mère" en lieu et place de "Vous avez engrossé ma mère", par exemple ...), les personnages symbolisent des archétypes tenant à la fois du théâtre de Labiche et du Grand-Guignol, au milieu d'une intrigue qui, elle, est visiblement grand-guignolesque.
Si cette pièce est montée dans une veine parodique, comme une parodie des ...
Nous évaluons ici pas seulement l'intrigue même si pour une pièce de théâtre cette dernière est capitale, mais aussi l'orthographe et la formulation des phrases. D'une manière générale vous les maitrisez plutôt bien mais à plusieurs reprises vous formulez des contre sens et de nombreuses fautes d'orthographes ternissent un langage que la noblesse utilisaient avec une totale maîtrise. Ne vous formalisez pas pour toutes ces fautes de frappe car ce qui compte au théâtre c'est de bien camper ses pe...
Un abbé qui a failli être le père d'une jeune fille noble ruinée qui se croit lesbienne parce qu'elle aime sa camériste laquelle s'avère être un homosexuel déguisé poignardé par l'abbé alors qu'il a un rendez-vous amoureux avec le père de la jeune fille qui tue l'abbé d'un coup de fourche avant d'accepter un mariage de convenance avec un vieux bourgeois pédophile...
Mon Dieu, quelle histoire!
Tout ça pour arriver à la conclusion "Dans la bonne société, l'important, ce n'est pas ce que vous ête...