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    Mireille REGNAULT
    Près du petit pont

    NotoriétéPopularitéPalmarès
              



    Commentaire de Philipum :

    La première scène, celle du début, où Valentin brûles les lettres unes à unes, d'abord de sa femme, ensuite de ses enfants... cette scène est magnifique, admirablement décrite, elle nous dévoile subtilement l'âme du personnage ainsi que son histoire.

    J'ai moins aimé la suite des événements. On s'attendrait dans ce genre de situation à un certain stress, un tiraillement, ou du moins quelque hésitation de la part de l'homme. Mais non : il est "seulement fatigué". Et à la fin, je trouve qu'il abandonne un peu trop facilement son dessein : les circonstances l'obligent à remettre son choix en question, et cela ne devrait pas aller de soi. La seule explication que je trouve, c'est qu'il en est arrivé se ficher de tout : vivre, mourir, après tout, c'est égal, puisque rien n'a de sens... mais s'il choisit de vivre, et de vivre à peu près comme auparavant ("je ne peux pas changer de vie à mon âge"), c'est un peu un retour à la case départ, non ?

    Son évaluation :
    Réponse de l'auteur au commentaire de Philipum :

    Tout d'abord, vous avez le droit d'aimer le début de la nouvelle mais pas la suite... Ceci dit je vais tout de même défendre un peu cette suite.
    C'est Valentin lui-même qui dit qu'il est "seulement fatigué" même si cette phrase est au discours indirect. Ce n'est pas tout à fait vrai. Il est en fait profondément brisé. C'est un protecteur qui a besoin de travailler pour les autres. Si les autres ne sont plus là ou n'ont plus besoin de lui, il ne trouve plus de sens à la vie.
    "Je ne peux pas changer de vie à mon âge" signifie "Je ne peux pas aller vivre à la ville".
    Y a-t-il un retour à la case départ à la fin? Est-ce donc la même chose de se retrouver quelque part seul ou avec un petit être à aimer, même un simple chien? Je vous laisse décider.
    Merci en tout cas de votre lecture et de votre commentaire.


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