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    Raymond DERYNCK
    Les temps périlleux
    ou la table de Merlin

    NotoriétéPopularitéPalmarès
              



    Commentaire de Woland :


    Ouvrage de conception très curieuse, mi-poème, mi-théâtre ... mi-quoi encore ? ... l'un des plus intelligents "résumé" que, en tant que Celte, j'aie jamais lus sur les chroniques arthuriennes. Deux questions cependant à l'auteur : il me semble que, à un certain moment, Morgana trouve le moyen d'emprisonner Merlin ou fais-je erreur ? et bien entendu, où est passé Mordred, le fils incestueux de l'union entre Morgane et Arthur ?



    S'y trouve admirablement mise en relief la récupération faite par le christianisme des légendes celtiques : Merlin, fils d'une mortelle et de Lucifer en personne, l'obsession de pureté sexuelle, le lien entre la Femme et la Tentation, etc ...



    Un ouvrage remarquable, qui ne peut donner qu'envie de retourner aux racines celtes des chroniques arthuriennes.


    Son évaluation :
    Réponse de l'auteur au commentaire de Woland :

    Mi-fidèle, mi-indépendant. Mi-rigoureux, mi-libre. Mi-celtique, Mi-universel. Mi-savant, mi-inculte. Mi-orgiaque, Mi-dînette. Mi-tortionnaire, mi-victime.



    O Oui, Woland, vous avez bien raison de capter des lacunes relatives au mythe. Et je pense que le débat (ou plutôt, la discussion) serait passionnant sur les écarts entre une certaine synthèse et ce qui en a été volontairement exclu.



    L'objectif, ainsi qu'il est dit dans les introductions, était de produire un spectacle de conteur autour de la quête du GRAAL et du personnage de MERLIN. Le canevas initial était l'ouvrage de Barjavel. Ce sont greffés naturellement Chrétien de Troyes et Apollinaire.
    La serpe a donc fonctionné, puis pour trouver une homogénéité ou une dynamique, certains points ça et là ont été rajoutés.

    Dans un second temps, et pour atteindre de façon brutale une durée visée, une version raccourcie a été produite, la hache a fonctionné à plein régime.


    La version intégrale a été aussi jouée en troupe. Une comédienne m'a suggéré récemment de focaliser sur les seuls passages de dialogues avec les femmes
    (Arthur Morgane, Lancelot Guenièvre, Merlin Viviane)


    Ce qui sous-tend les manifestations, c'est l'élucidation des désirs que symbolise la quête du GRAAL.
    Peut-être pourriez-vous mettre à profit le fil ouvert voilà quelques mois par Mahaut pour lancer des échanges et réorienter les lecteurs vers les racines celtes des chroniques arthuriennes.


    Merci en tout cas, Woland, de votre commentaire élogieux, qui montre que vous avez éprouvé du plaisir à sa lecture.
    Le texte malgré son âge a su entrer en résonance !


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