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    Georges RÉVEILLAC
    Mon Amour

    NotoriétéPopularitéPalmarès
              



    Commentaire de Woland :


    Avant tout, je tiens à dire que je suis très étonnée de voir cet ouvrage classé dans la rubrique "Roman sentimental." Car enfin, même si l'auteur y évoque certainement son propre parcours et le couple qu'il a formé avec son épouse, etc ..., il évoque surtout ses idées personnelles sur l'univers et les différentes sociétés qui peuplent notre planète.



    Le style est agréable et correct mais je me pose des questions quant à la construction. J'entends par là que je ne sais vraiment pas si le mélange parcours affectif et professionnel personnel/théories diverses sur l'Homme, la Femme, etc ... est si fonctionnel que ça. Quelqu'un qui a l'habitude de la lecture et qui possède une certaine culture franchira le cap sans dommage. Mais les autres ? ... Ceux qui pensent certainement, au vu de ce titre : "Mon Amour" et de la jaquette qui l'accompagne, qu'ils vont tomber sur, effectivement, un roman sentimental ? ... D'autant que cette "Môhhman", jusque dans son nom, peut évoquer tout bêtement ... la belle-mère qui vient torpiller le ménage idéal. Je crains donc que beaucoup ne sortent de là plutôt déçus et très étonnés.



    Les questions que se pose l'auteur et ses théories restent cependant intéressantes. Je suis loin de partager toutes ses conclusions : j'estime notamment que, si les parents et le milieu culturel ont de fait une forte influence sur les enfants et leurs apprentissages scolaires, cela ne diminue en rien celle de l'Education nationale qui, depuis 1968 et avec la mise en place du collège unique sous Giscard (pour ne rien dire de cette "mixité sociale" qui est imposée à certains mais pas aux fils d'une certaine élite bourgeoise), a fait beaucoup plus de mal que de bien.



    En outre, je n'ai pas bien saisi le point de vue de l'auteur sur le fait suivant : il est exact que certains enfants (maltraités ou nés dans un milieu hostile à l'intelligence et à l'éducation) font tout pour s'en sortir et y parviennent. Ils le doivent à leur intelligence et à leur amour de l'étude ainsi qu'à leur soif de connaissance. Mais justement, d'où vient cette boulimie de savoir ? Est-elle innée - ce que semble penser Georges Réveillac - ou n'est-elle qu'une conséquence de ce que ces enfants voient autour d'eux ? En principe, les parents restent LA référence de l'enfant ... mais pour certains d'entre eux, ils constituent aussi LA contre-référence par excellence. Ce qui fait que, tout comme on peut devenir délinquant parce qu'on en a assez de ses parents ou de la société, on peut aussi vouloir apprendre et devenir réellement quelqu'un parce que ses parents étaient des imbéciles, des fanatiques religieux, de pauvres minables complètement déjantés (et parfois les trois à la fois.)



    Quoi qu'il en soit, l'auteur a au moins eu le mérite non seulement de s'interroger mais aussi d'essayer de sortir de tout cela un système qui tienne la route. Et sans ce mélange fiction autobiographique/essai théorique que j'ai trouvé un peu accablant en l'espèce, j'aurai rehaussé ma note.



    Cordialement. ;o)


    Son évaluation :
    Réponse de l'auteur au commentaire de Woland :

    Vous me dites, Woland :
    « je suis très étonnée de voir cet ouvrage classé dans la rubrique "Roman sentimental."
    J’ai demandé une fois à Pascal de mettre mon ouvrage dans la catégorie « roman philosophique ». Il n’a pas bougé et je n’ai pas insisté, sans doute parce que j’obtenais un bon score au nombre de téléchargements. Mais je ne veux pas tromper les lecteurs. Je suppose que la plupart lisent d’abord ma page d’auteur. Pour l’année en cours, les statistiques indiquent.
    -Consultation de la page : 735,
    -lecture de l’extrait : 219
    -tentatives de téléchargement : 110,
    -téléchargements réels : 82.
    Sur cette page d’auteur, la couleur est clairement annoncée. Je dis qu’il s’agit avant tout d’une théorie philosophique que j’aimerais voir testée. Il y a 117 lignes sur le sujet. Ensuite seulement, je dis que cette théorie est enchâssée dans un roman et, même là, j’y rajoute une louche de philosophie.
    Sur mon site perso, je présente ainsi l’ouvrage : « roman d’amour et philosophie ». Je vais demander à Pascal s’il peut faire la même chose sur Alexandrie.
    Pour ce qui est du mélange des genres, roman et philosophie, j’ai déjà annoncé ma décision d’extirper le roman de l’ensemble discordant et de le réécrire sous le titre : « Mon Amour tout Simplement ». Cependant, je publierai en parallèle une version complète parce que le roman aide à comprendre la théorie.
    Mômmanh ? C’est ainsi qu’on dit maman en Gallo, le parler de mon enfance. Dans mon esprit, il évoque aussi des génies obscurs des premiers temps de l’humanité, peut-être à cause de « Rahan, le Fils des Ages farouches », une BD publiée dans la presse communiste.
    Woland, vous vous interrogez sur un passage ambigü et vous donnez votre point de vue : « Ce qui fait que, tout comme on peut devenir délinquant parce qu'on en a assez de ses parents ou de la société, on peut aussi vouloir apprendre et devenir réellement quelqu'un parce que ses parents étaient des imbéciles, des fanatiques religieux, de pauvres minables complètement déjantés (et parfois les trois à la fois.) »
    Tout à fait d’accord, Woland., je vais corriger mon ouvrage.
    Les méfaits « du collège unique sous Giscard (pour ne rien dire de cette "mixité sociale" qui est imposée à certains mais pas aux fils d'une certaine élite bourgeoise), a fait beaucoup plus de mal que de bien. » ?...
    Je vais essayer d’aborder cette question, mais je n’arriverai pas forcément aux mêmes conclusions que vous. Je m’interrogerai aussi sur cette conception de l’égalité que nous avons en France. Quelle est son origine ? Elle conduit à vouloir que tous les enfants deviennent des cadres supérieurs. Qui ramassera les ordures ? Qui travaillera sur les chantiers ? Dans les porcheries ? Je crois que l’égalité dans la compétition pour les meilleures places est bonne aussi longtemps qu’elle ne nuit pas à l’intérêt général.
    Encore merci à vous, Woland, d’avoir donné ce travail.




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