Didier Mérilhou
Le bonheur d'être libre
Nouvelle


Julien à seize mois frôle la mort à la suite d'une méningite. Pendant plusieurs semaines, il reste attaché au lit hurlant sa douleur d'être privé de sa mère. Malgré ce traumatisme, on le voit grandir, devenir père à son tour. Mais, semble-t-il, aucune femme ne pourra combler de trou béant, ces pages arrachées de son enfance. Seul ses enfants lui apportent une raison de vivre. Que deviendra-t-il quand ceux-ci auront quitté la maison ?



L'AUTEUR

Didier Mérilhou part à Dieppe en stop avec un pote. À la suite d'un pari avec son père, qui est sûr de le gagner, il passe son BEPC en candidat libre et l'obtient. Il part en stop à Taizé, Louvain-la-Neuve puis en Espagne. Il découvre le théâtre et joue à Périgueux Un nommé Judas, de Claude-André Puget et Charles Bost, ce qui lui vaut les félicitations de tout son entourage. Pendant son service militaire, il fait une grève de la faim, ce qui lui permet d'étudier (19 heures par jour pendant 5 mois) pour passer l'examen équivalent au bac et le concours d'infirmier qu'il obtient. Il se marie en 1982 et a cinq enfants. Il passe une maîtrise de sciences de l'éducation et monte une troupe de théâtre ; après un an de travail l'auteur lui interdit de jouer sa pièce. De colère Didier Mérilhou écrit sa première pièce éditée chez L'Harmattan.


DU MÊME AUTEUR

  • Demain peut-être (Roman/Dramatique)
  • Si les divinités s'en mêlent (Théâtre)


  • Ce texte est publié sur le site d'Alexandrie Online à l'adresse http://www.alexandrie.org
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    Date de publication : 09-12-2010