Une rencontre (féminine) en 1981 fait basculer la vie de l'auteur. S'ensuivront huit années presque exclusivement consacrées à la consommation de drogues dures.
Un sale goût dans les veines raconte trois de ces années, au jour le jour. Le contraste est grand entre la beauté et la sensualité de la ville d'Amsterdam, et les affres de la vie quotidienne d'un toxicomane.
Les lieux, les faits, les personnages, les dialogues, les décors sont tous bien réels et on assiste sur 400 pages à l'inexorable décomposition d'une histoire d'amour qui ne pouvait se terminer bien.
cf. http://www.alexandrie.org/resumT.php?lid=181 |