Devenez Membre  Aujourd'hui: 272 visites  
Menu Principal
  • Accueil
  • Inscription
  • Connexion
  • Recherche

  • En Bref
  • Lectures Libres
  • Best Sellers
  • Sites littéraires
  • La Bibliothèque
  • La Librairie
  • La Criticothèque

  • Foire aux questions
  • Publier un ouvrage
  • Protection en ligne
  • Le droit d'auteur

  • Passe-Livres
  • Bouche à oreille
  • A propos du site
  • Mentions légales

  • La lettre

    Votre adresse E-mail

    Abonnez-vous, c'est gratuit !

    Vue d'ensemble
    Bonjour, Anonyme
    Pseudo :
    Mot de Passe:
    Inscription
    Mot de passe oublié?

    Membres inscrits :
    Aujourd'hui : 0
    Hier : 0
    Total : 5765

    En ligne :
    Visiteurs : 8
    Membres : 0
    Total :8

    Liens sponsorisés



    Votre publicité ici


    CRITIQUE LITTÉRAIRE
    Francis Berthelot - Rivage des intouchables




    Critique publiée par Georges-André Quinio le 23-03-2009

    Etes-vous Gurde ou Irvène ?

    Il y a les Gurdes, au corps couvert d’écailles, et il y a les Yrvènes, dont la peau élastique comme celle des dauphins est bariolée de pigments colorés. Ceux-là sont les êtres de la pierre et du sable, du désert ; ceux-ci appartiennent à l’élément aquatique, l’inquiétante Loumka. Après s’être entretués pendant des siècles, ils sont enfin parvenus à une cohabitation hostile. C’est pourquoi leur planète porte le seul nom qu’elle mérite : Erda-Rann, la « Terre Divisée ».

    Et puis il y a ceux, on les appelle les Tranvers, qui tentent, par amour ou par amitié, de franchir la frontière entre les deux races. La toute puissante Loi de l’Instinct a fait d’eux des parias. Comme par un mystérieux jugement de Dieu une étrange maladie viendra les décimer…

    C’est « Rivage des Intouchables » de Francis Berthelot, qui a obtenu le Grand Prix de la science-fiction française en 1991, malheureusement épuisé chez l’éditeur (Denoël/folioSF) mais qu’on trouve encore sur Internet ; alors allez-y voir…

    Je n’ai pas réussi à m’arracher avant la fin à cet univers poético-fantastique qui évoque pourtant si bien le nôtre (la peur de l’autre, le sida, on l’aura compris).


    Le critique : Georges-André Quinio
    Note :
    Liens relatifs : Amazon.fr
    Hits : 3203

    [ Faire un commentaire ]  [ Retour à l'index des Critiques ]

      

    Tous les Logos et Marques cités sont déposés, les articles et commentaires sont sous la responsabilité de leurs auteurs respectifs.
    Copyright © 2000/2024 - Alexandrie Online - All rights reserved (Tous droits réservés) - Contactez-nous - Affiliation

    Robothumb