Astrid Desmarécaux : Piment et Guacamole  "Piment et Guacamole" est le carnet de bord des premier mois d'une nouvelle vie, un exil dans le nord du Mexique pour compenser un besoin d'aventure. Après quelques années d'enseignement à Londres et à Bruxelles, l'auteure décroche un poste à l'Alliance Française de Chihuahua, une ville au nom de chien qu'elle détestera tout d'abord, puis apprendra à apprécier au fil des mois et des rencontres. Au programme de cette nouvelle vie: poulet au chocolat, séjour au fin fond de la sierra, fantômes et l ...
Eurydice Reinert-Cend : Renaissance dans le Christ  Un témoignage porteur d’un seul message : l’Espoir. Qu’il s’agisse de relater les évènements importants de sa vie ou de poser un regard dur mais réaliste sur la société moderne, Eurydice Reinert-Cend ne poursuit qu’un seul objectif. Loin d’elle l’idée d’être un guide sentencieux ou moralisateur. Elle veut juste partager ses émotions, ses aventures, ses expériences , et démontrer qu'on peut toujours se redresser. Pour prouver que la Foi et la Vérité existent, et qu’il ne faut craindre ni les idée ...
Alain BELLE : Un sale goût dans les veines  Une rencontre (féminine) en 1981 fait basculer la vie de l'auteur. S'ensuivront huit années presque exclusivement consacrées à la consommation de drogues dures.
Un sale goût dans les veines raconte trois de ces années, au jour le jour. Le contraste est grand entre la beauté et la sensualité de la ville d'Amsterdam, et les affres de la vie quotidienne d'un toxicomane.
Les lieux, les faits, les personnages, les dialogues, les décors sont tous bien réels et on assiste sur 400 pages à l'inexorable ...
Jed Elkenz : Ma langue à couper  Mohsen – radio de bord du cargo le « Nabucco », et témoin privilégié – raconte comment les matelots ont vécu l’invasion du Koweït alors qu’ils se trouvaient en mer.
Avec ses compagnons d’infortune, naufragés involontaires, refoulés par toutes les capitaineries comme des « sans papiers » de la marine marchande, il vit la dérive de son navire. Et de son pays.
Vivre cela sans mot dire. Car les traînes savates du régime veillent encore !
Quand l’orage éclate sur lui et sur le plus grand nombre, ...
|