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COMMENTAIRES
Mireille REGNAULT Près du petit pont
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Lecteur : Ishtar | Evaluation :
| 29/10/2006 |
Madame Regnault, votre Nouvelle m'a bouleversée; je suis particulièrement sensible à la détresse d'une personne de l'âge de Valentin, à sa solitude, à ses angoisses face aux traumatismes de sa vie (les deuils de son épouse et de son fils Jacques et l'indifférence de sa fille Inès). Il lui manque ce petit supplément d'âme qui pourrait lui faire croire qu'il existe encore pour quelqu'un. Il lui manque simplement de bavarder pour chasser un moment de cafard. Il pensait trouver tout cela auprès de s... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : Mary-j-dan | Evaluation :
| 5/10/2007 |
Superbe ! Magnifique ! Ces deux rescapés sont touchants et cette vivante histoire est un hymne à la vie. Comme je me suis sentie proche de Valentin... et du chiot ! Le comportement de Inès est loin d'être unique. Hélas, ce même problème m'a atteint en plein coeur. L'écriture de l'auteur est si agréable qu'elle plonge le lecteur dans l'univers du personnage au point que, sur les derniers mots je me suis retournée croyant presque apercevoir le jeune chien.
Merci pour cette belle histoire. Réponse de l'auteur
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| Lecteur : Antoine | Evaluation :
| 21/09/2006 |
L'histoire on ne peut plus actuelle (du moins dans ce qu'elle représente) d'un conflit de générations. Le vieux père, à la fois constant dans sa modestie, sa dignité, et soucieux d'assurer la continuité de son moi à travers ses enfants (en l'occurrence sa fille), mais qui ne peut qu'échouer (ses descendants, trop loin, trop "ailleurs", ne souhaiteront pas bien sûr profiter de cette maison du bonheur qu'il avait rêvée pour eux). Inès, quant à elle, recherche (et parvient à acquérir) une réussite ... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : mahaut | Evaluation :
| 25/10/2006 |
Regard tendre qui chasse le désespoir,
amour inconditionnel et confiant qui ne connait ni calcul, ni intérêt, tel est cet être qu'on appelle le meilleur ami de l'homme.
J'apprécie aussi le regard bien posé sur les êtres, leurs failles, leurs brisures et leurs forces, même celles en lesquelles ils ne croient plus.
Vous avez le chic et l'art de la progression dramatique. Elle s'éveille et m'embarque dans le désir d'en savoir plus et plus vite
Très intéressant aussi ce passage "mét... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : Becdanlo | Evaluation :
| 26/10/2006 |
En quelques pages nous voyons défiler toute la vie d’un homme de ses premiers émois en découvrant « les jambes fines et les longs cheveux noirs » de celle qui deviendra sa femme à cette fin de vie où il se sent seule et inutile. Il prépare alors avec minutie sa sortie… qu’il va rater… ou réussir… c’est selon.
En lisant la nouvelle de Mireille Regnault, j’ai pensé aux écrivains Japonais et à leurs nouvelles souvent noires où l’on décrit parfois les préparatifs du seppuku (le suicide rituel).... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : detroiter | Evaluation :
| 22/01/2007 |
Belle langue, belle écriture, belle histoire : on en veut plus ! Vite ! Un recueil !!!
Dans cette nouvelle, tout se passe dans un faux rythme ; tout semble être lent et en suspens, comme si les gestes, faits pour la dernière fois, avaient décidé d’attendre le retour du corps, d’un corps, quitte à attendre l’éternité… l’éternité d’une journée d’hiver, l’éternité d’une rencontre. A la fin, les gestes se trouvent à nouveau habités. Ils ont bien fait d’attendre !
Qui sauve qui ? La quest... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : freddie31 | Evaluation :
| 2/04/2007 |
superbe ! Et cette vérité si criante si proche de la réalité.
On est pris dans cette nouvelle et on ne s'arrête qu'au dernier mot. On ressent très bien la détresse de Valentin, et on aimerait tellement ne jamais en arriver là.
Il faut continuer comme ça. Un vrai bonheur ! Réponse de l'auteur
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| Lecteur : Woland | Evaluation :
| 26/09/2006 |
Tout progresse lentement mais sûrement. Certains trouveront peut-être la fin trop convenue mais pourquoi bouder son plaisir ? Tout doit-il toujours mal finir ? ...
C'est sûr, de "Enquête en montagne" jusqu'à "Près du Petit-Pont" en passant par "L'Ame soeur", l'univers de Mireille Regnault s'affirme comme infiniment mélancolique. Mais dans le deuxième récit, je trouve la construction de l'ensemble solide, étudiée, quasi-parfaite.
Et c'est dur à obtenir, une bonne construction ... ;o)
Réponse de l'auteur
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| Lecteur : BMI | Evaluation :
| 27/09/2006 |
Belle histoire avec le meilleur ami de l'homme.
Réponse de l'auteur
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| Lecteur : MarcFenek | Evaluation :
| 23/11/2006 |
Valentin est fatigué, las, seul.
Il revoit son histoire, les gens qu'il a aimés, femme, fils, fille.
Il revoit les horreurs passées, les petites mesquineries, les grands drames qui ne bouleverseront sans doute pas la face de l'humanité.
Il sent qu'il est temps pour lui de laisser la place...
Bon, pour l'instant, c'est plus une «quat' de couv'» qu'une critique que je fais là !
C'est pour bien souligner que ce qui fait la force de cette nouvelle, au-delà d'un s... Réponse de l'auteur
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| Lecteur : jardinier | Evaluation :
| 21/12/2006 |
Un brave homme Valentin, et tellement humain qu'il est encore capable, à son âge, d'aimer une bête et de rêver. D'ailleurs, est-il si vieux pour vouloir déjà mourir ? On imaginerait bien le pourquoi d'un visage ridé : la perte prématurée de la femme qu'il aimait et que l'insouciance le portait à croire jeune, belle, tendre et svelte pour toujours, comme quand ils s'étaient connus, puis mariés, à 18 ans ; la mort brutale de son fils, engagé en Algérie et qui, dans ses lettres, tentait de leur fai... Réponse de l'auteur
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