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Pierre-Alain GASSE Laissées pour compte Nouvelle |  |
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Passant en revue mes recueils précédents et une fois écartés quelques textes de circonstance, mal écrits ou trop éloignés du genre, est apparue une douzaine d'histoires laissées pour compte. Qu'elles soient dramatiques comme « Le Testament », « Reverrons-nous jamais la Drenica ? », « La Dernière fois » ou « Cours, Diego, cours... », noires et policières comme « Retour perdant », « Mort d'un Baiseur » ou « Bonne Nouvelle », hommages à des artistes admirés comme « La Montre de Montiel », « Le dernier combat de M. K. » ou « Mutatis Mutandis » ou plus rétives à la catégorisation comme « Angoisse... » ou « Km 1500 », par leur sujet ou leur date de création, elles se sont retrouvées isolées et n'avaient pu prendre place dans les thématiques précédentes. Les voilà aujourd'hui réunies en un bouquet composite...
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L'AUTEUR Pourquoi écrit-on, en définitive, sinon pour être lu et reconnu ? Aussi loin qu'il s'en souvienne, depuis qu'il sait écrire, l'auteur a toujours écrit. Après avoir fait ses premières armes dans le journal de son lycée, il a ensuite vainement cherché sa voie, comme beaucoup, dans le roman autobiographique ou son succédané, le roman hybride. Puis est venu un assez long temps de silence, meublé par d'autres combats. Avant qu'en 1995, il ne découvre que la nouvelle était le genre qui correspondait le mieux à son économie de moyens. L'essor de la Toile lui permet, depuis 1998, de vous livrer, à moindres contraintes, ses créations. Lorsque vous les aimez, pour une raison ou pour une autre, son but est atteint et la boucle bouclée. Alors par avance, il vous en dit mille mercis...
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DU MÊME AUTEUR
COMMENTAIRE D'UN LECTEUR  Couperine : Le style est fluide, l'écriture claire et enjouée. toutes les caractéristiques de la nouvelle sont là. dans ce recueil, j'ai apprécié le testament, commençant un peu à la manière de l'etranger de camus: "ainsi donc, moi, pierre lafarge, je suis mort. je ne sais trop dans quelles circonstances cela s'est produit - ces derniers temps ma mémoire se perdait déjà -, mais cela est, puisque vous voilà devant mon cercueil, la larme à l'oeil [...]".
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VOUS APPRÉCIEREZ PEUT-ÊTRE ÉGALEMENT
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