| |
David Myriam Contrepoison Nouvelle | |
Un breuvage doux-amer mis en bouteille directement par le producteur, un mélange contrasté qui met le cerveau en ébullition en distillant les turpitudes d’un monde engagé obstinément dans une impasse tragique. Ce recueil est une cuvée spéciale concoctée entre cauchemars et espérance. Cet élixir décapant voudrait libérer les neurones endormis par des poisons insidieux afin de révéler l’âme qui palpite encore entre les ruines. Ces textes et ces images dansent entre les yeux et les cœurs pour provoquer un court-circuit salutaire, un électrochoc qui révèle la réalité sous un autre jour. Des mots sombres traversés d’éclairs, des signes acérés pour antidotes à la violence et à la peur des évidence
| |
L'AUTEUR J’ai commencé à créer à la fin des années 80, j’avais autour de 20 ans, je ne suis pas tombée dans la marmite artistique depuis tout petit. Comme beaucoup de jeunes, j’aimais bien le cinéma et la BD, mais je ne pensais pas du tout m’engager dans cette voie.
Je n’ai fait aucune école d’art, mes études ont porté sur d’autres domaines. Je suis donc autodidacte, même chose pour la création de sites web (j’ai exercé en indépendant dans le domaine internet pendant 4 ans).
Mais c’est plutôt au début des années 1990 que j’ai en quelque sorte découvert ma vocation, je me suis mis petit à petit à faire du dessin et de la BD, et du cinéma d’animation à partir de 1994, tout en continuant à écrire toutes sortes de textes, plutôt décapants...
|
AVANT PROPOS "Les apparences de ce monde sont trompeuses, quand on regarde de près, quand on ferme les yeux pour laisser parler le cœur et l’invisible, on peut voir le maillage truqué et on peut passer entre les cases, de l’autre côté des images fabriquées, du côté de l’évidence et de la dissidence permanente, là où la barbarie est rongée par l’amour."
Ce recueil de nouvelles et poèmes auto-édité se compose de 51 textes courts (24 poèmes et 27 nouvelles) ainsi que de 42 illustrations (des dessins en noir et blanc). Des textes courts entre poésie, ironie cinglante.
VOUS APPRÉCIEREZ PEUT-ÊTRE ÉGALEMENT
MENTION LÉGALE La loi du 11mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinas 2 et 3 de l'article 41, d'une part, que les copies ou reproductions strictement réservés l'usage privé du copiste et non destinés à une utilisation collective et, d'autre part, que les analyses et les courtes citations dans un but d'exemple et d'illustration, toute représentation ou reproduction intégrale, ou partielle, faite sans le consentement de l'auteur ou de ses ayants droit ou ayant cause, est illicite (alinéa 1er de l'article 40). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.
| |
|